Voici la suite des paysans
- Il s’agit de nos revenus, ma belle, dit le général en montrant la lettre à sa femme, voulez-vous venir plus tôt que l’année dernière aux Aigues ?
- Allez-y, je vous rejoindrai dès les premiers beaux jours, répondit la comtesse qui fut assez contente de rester seule à Paris.
Le général qui connaissait la plaie assassine par laquelle la fleur de ses reve- nus était dévorée, partit donc seul avec l’intention de prendre des mesures vigou- reuses. Mais le général comptait, comme on va le voir, sans son Gaubertin.
- Eh ! bien, maître Sibilet, disait le général à son régisseur le lendemain de son arrivée en lui donnant un surnom familier qui prouvait combien il appréciait les connaissances de l’ancien clerc, nous sommes donc, selon le mot ministériel, dans des circonstances graves ?
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire...;,.,........ dernière aux Aigues ?..,....,...............
Les plus forts iront jusqu’au bout
- Il s’agit de nos revenus, ma belle, dit le général en montrant la lettre à sa femme, voulez-vous venir plus tôt que l’année dernière aux Aigues ?
- Allez-y, je vous rejoindrai dès les premiers beaux jours, répondit la comtesse qui fut assez contente de rester seule à Paris.
Le général qui connaissait la plaie assassine par laquelle la fleur de ses reve- nus était dévorée, partit donc seul avec l’intention de prendre des mesures vigou- reuses. Mais le général comptait, comme on va le voir, sans son Gaubertin.
- Eh ! bien, maître Sibilet, disait le général à son régisseur le lendemain de son arrivée en lui donnant un surnom familier qui prouvait combien il appréciait les connaissances de l’ancien clerc, nous sommes donc, selon le mot ministériel, dans des circonstances graves ?
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire...;,.,........ dernière aux Aigues ?..,....,...............
Les plus forts iront jusqu’au bout