Voici la suite des paysans
Aussi le citoyen Niseron devint-il un reproche vivant pour trop de monde. On l’accabla bientôt sous l’avalanche de l’oubli, sous ce mot terrible :
- " Il n’est content de rien ! " Le mot de ceux qui se sont repus pendant la sédition.
Cet autre paysan du Danube regagna son toit à Blangy, regarda cheoir une à une ses illusions, vit sa république finir en queue d’empereur, et tomba dans une complète misère, sous les yeux de Rigou, qui sut hypocritement l’y réduire. Savez- vous pourquoi ? Jamais Jean-François Niseron ne voulut rien accepter de Rigou. Des refus réitérés apprirent au détenteur de la succession en quelle mésestime profonde le tenait le neveu du curé. Enfin ce mépris glacial venait d’être couronné par la menace terrible dont avait parlé l’abbé Brossette à la comtesse.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
Aussi le citoyen Niseron devint-il un reproche vivant pour trop de monde. On l’accabla bientôt sous l’avalanche de l’oubli, sous ce mot terrible :
- " Il n’est content de rien ! " Le mot de ceux qui se sont repus pendant la sédition.
Cet autre paysan du Danube regagna son toit à Blangy, regarda cheoir une à une ses illusions, vit sa république finir en queue d’empereur, et tomba dans une complète misère, sous les yeux de Rigou, qui sut hypocritement l’y réduire. Savez- vous pourquoi ? Jamais Jean-François Niseron ne voulut rien accepter de Rigou. Des refus réitérés apprirent au détenteur de la succession en quelle mésestime profonde le tenait le neveu du curé. Enfin ce mépris glacial venait d’être couronné par la menace terrible dont avait parlé l’abbé Brossette à la comtesse.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
Dernière édition par Helene le Jeu 21 Mai - 14:36, édité 1 fois