Voici la suite des Paysans
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Tout en portant sa ceinture au plexus solaire, comme l'ont portée nos mères, si fières de leurs grâces impériales, Junie (elle s'appelait Junie!) fit la maison Socquart; son mari lui devait la propriété d'un clos de vignes, de la maison qu'il habitait et du Tivoli. Le père de monsieur Lupin avait fait, dit-on, des folies pour la belle Junie Socquart; Gaubertin, qui la lui avait enlevée, lui devait certainement le petit Bournier.
Ces détails et la science secrète avec laquelle Socquart fabriquait le vin cuit expliqueraient déjà pourquoi son nom et le Café de la Paix étaient devenus populaires; mais bien d'autres raisons augmentaient cette renommée. On ne trouvait que du vin chez Tonsard et dans tous les autres cabarets de la vallée; tandis que depuis Couches jusqu'à la Ville-aux-Fayes, dans une circonférence de six lieues, le café de Socquart était le seul où l'on pût jouer au billard, et boire ce punch que préparait admirablement le bourgeois du lieu. Là seulement se voyaient en étalage des vins étrangers, des liqueurs fines, des fruits à l'eau-de-vie.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Tout en portant sa ceinture au plexus solaire, comme l'ont portée nos mères, si fières de leurs grâces impériales, Junie (elle s'appelait Junie!) fit la maison Socquart; son mari lui devait la propriété d'un clos de vignes, de la maison qu'il habitait et du Tivoli. Le père de monsieur Lupin avait fait, dit-on, des folies pour la belle Junie Socquart; Gaubertin, qui la lui avait enlevée, lui devait certainement le petit Bournier.
Ces détails et la science secrète avec laquelle Socquart fabriquait le vin cuit expliqueraient déjà pourquoi son nom et le Café de la Paix étaient devenus populaires; mais bien d'autres raisons augmentaient cette renommée. On ne trouvait que du vin chez Tonsard et dans tous les autres cabarets de la vallée; tandis que depuis Couches jusqu'à la Ville-aux-Fayes, dans une circonférence de six lieues, le café de Socquart était le seul où l'on pût jouer au billard, et boire ce punch que préparait admirablement le bourgeois du lieu. Là seulement se voyaient en étalage des vins étrangers, des liqueurs fines, des fruits à l'eau-de-vie.