Voici la suite de Paysans.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
La sous-préfecture entraîna le tribunal de Première Instance et tous les employés d'un chef-lieu d'arrondissement. L'augmentation de la populaton parisienne, en augmentant la valeur et la quantité voulue des bois de chauffage, augmenta nécessairement l'importance du commerce de la Ville-aux-Fayes. Gaubertin avait assis sa fortune sur cette nouvelle prévision, en devinant l'influence de la paix sur la population parisienne, qui, de 1815 à 1825, s'est accrue en effet de plus d'un tiers.
La configuration de la Ville-aux-Fayes est indiquée par celle du terrain. Les deux lignes du promontoire étaient bordées par des ports. Le barrage pour arrêter les bois était au bas de la colline occupée par la forêt de Soulanges. Entre ces barrages et la ville, il y avait un faubourg. La basse-ville, située dans la partie la plus large du delta, plongeait sur la nappe d'eau du lac d' Avonne.
Au-dessus de la basse-ville, cinq cents maisons à jardins, assises sur la hauteur défrichée depuis trois cents ans, entourent ce promontoire de trois côtés, en jouissant toutes des aspects multipliés que fournit la nappe diamantée du lac d'Avonne.
population de Paris= augmentation un peu moindre selon Belin et Pujol (1848), environ 713.500 habitants en 1817 et 891.OOO en 1827; soit une augmentation du quart. Il est vrai que les deux périodes décennales considérées, 1815-1825 et 1817-1827 ne sont pas strictement les mêmes.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
La sous-préfecture entraîna le tribunal de Première Instance et tous les employés d'un chef-lieu d'arrondissement. L'augmentation de la populaton parisienne, en augmentant la valeur et la quantité voulue des bois de chauffage, augmenta nécessairement l'importance du commerce de la Ville-aux-Fayes. Gaubertin avait assis sa fortune sur cette nouvelle prévision, en devinant l'influence de la paix sur la population parisienne, qui, de 1815 à 1825, s'est accrue en effet de plus d'un tiers.
La configuration de la Ville-aux-Fayes est indiquée par celle du terrain. Les deux lignes du promontoire étaient bordées par des ports. Le barrage pour arrêter les bois était au bas de la colline occupée par la forêt de Soulanges. Entre ces barrages et la ville, il y avait un faubourg. La basse-ville, située dans la partie la plus large du delta, plongeait sur la nappe d'eau du lac d' Avonne.
Au-dessus de la basse-ville, cinq cents maisons à jardins, assises sur la hauteur défrichée depuis trois cents ans, entourent ce promontoire de trois côtés, en jouissant toutes des aspects multipliés que fournit la nappe diamantée du lac d'Avonne.
population de Paris= augmentation un peu moindre selon Belin et Pujol (1848), environ 713.500 habitants en 1817 et 891.OOO en 1827; soit une augmentation du quart. Il est vrai que les deux périodes décennales considérées, 1815-1825 et 1817-1827 ne sont pas strictement les mêmes.
Dernière édition par Yves le Dim 7 Aoû - 9:20, édité 3 fois