Voici la suite des Paysans.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
"Joseph! cria le comte à son valet de chambre, courez chercher le médecin, peut-être y aurait-il encore quelque ressource... Non, demandez plutôt à monsieur le curé de venir, car cette pauvre femme est bien morte et son enfant aussi... Mon Dieu! mon Dieu! quel bonheur que ma femme ne soit pas ici!... Et vous, dit-il au jardinier, allez voir ce qui s'est passé.
-Il s'est passé, dit le domestique du pavillon, que le cheval de monsieur Michaud vient de rentrer tout seul, les brides cassées, les jambes en sang... Il y a une tache de sang sur la selle, comme une coulure.
-Que faire la nuit? dit le comte. Allez réveiller Groison, les gardes, sellez les chevaux, et nous battrons la campagne."
Au petit jour, huit personnes, le comte, Groison, les trois gardes et deux gendarmes venus de Soulanges avec le maréchal-des-logis, explorèrent le pays. On finit par trouver, au milieu de la journée, le corps du garde-général dans un bouquet de bois, entre la grande route et la route de La-Ville-aux-Fayes, au bout du parc des Aigues, à cinq cents pas de la grille de Couches. Deux gendarmes partirent, l'un par La-Ville-aux-Fayes, chercher le Procureur du roi, et l'autre par Soulanges, chercher le juge de paix. En attendant, le général fit un procès-verbal, aidé par le maréchal-des-logis.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
"Joseph! cria le comte à son valet de chambre, courez chercher le médecin, peut-être y aurait-il encore quelque ressource... Non, demandez plutôt à monsieur le curé de venir, car cette pauvre femme est bien morte et son enfant aussi... Mon Dieu! mon Dieu! quel bonheur que ma femme ne soit pas ici!... Et vous, dit-il au jardinier, allez voir ce qui s'est passé.
-Il s'est passé, dit le domestique du pavillon, que le cheval de monsieur Michaud vient de rentrer tout seul, les brides cassées, les jambes en sang... Il y a une tache de sang sur la selle, comme une coulure.
-Que faire la nuit? dit le comte. Allez réveiller Groison, les gardes, sellez les chevaux, et nous battrons la campagne."
Au petit jour, huit personnes, le comte, Groison, les trois gardes et deux gendarmes venus de Soulanges avec le maréchal-des-logis, explorèrent le pays. On finit par trouver, au milieu de la journée, le corps du garde-général dans un bouquet de bois, entre la grande route et la route de La-Ville-aux-Fayes, au bout du parc des Aigues, à cinq cents pas de la grille de Couches. Deux gendarmes partirent, l'un par La-Ville-aux-Fayes, chercher le Procureur du roi, et l'autre par Soulanges, chercher le juge de paix. En attendant, le général fit un procès-verbal, aidé par le maréchal-des-logis.