Voici la suite des paysans
En 1791, tout le monde put éclater de rire ; mais à ce rire succéda le plus profond silence.
- Il n’y a rien de risible à cela, dit la gouvernante, depuis que je suis malade, Arsène me veille.
Malgré cette explication, le curé Niseron jeta sur madame Niseron et sur son mari le regard foudroyant d’un prêtre qui croit à un complot. La gouvernante mourut. Dom Rigou sut si bien exploiter la haine du curé, que l’abbé Niseron déshérita Jean-Francois Niseron au profit d’Arsène Pichard.
En 1823, Rigou se servait toujours par reconnaissance de la sarbacane pour attiser le feu.
Madame Niseron, folle de sa fille, ne lui survécut pas. La mère et l’enfant mou- rurent en 1794. Le curé mort, le citoyen Rigou s’occupa lui-même des affaires d’Arsène, en la prenant pour sa femme.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
En 1791, tout le monde put éclater de rire ; mais à ce rire succéda le plus profond silence.
- Il n’y a rien de risible à cela, dit la gouvernante, depuis que je suis malade, Arsène me veille.
Malgré cette explication, le curé Niseron jeta sur madame Niseron et sur son mari le regard foudroyant d’un prêtre qui croit à un complot. La gouvernante mourut. Dom Rigou sut si bien exploiter la haine du curé, que l’abbé Niseron déshérita Jean-Francois Niseron au profit d’Arsène Pichard.
En 1823, Rigou se servait toujours par reconnaissance de la sarbacane pour attiser le feu.
Madame Niseron, folle de sa fille, ne lui survécut pas. La mère et l’enfant mou- rurent en 1794. Le curé mort, le citoyen Rigou s’occupa lui-même des affaires d’Arsène, en la prenant pour sa femme.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout