Voici la suite des paysans
Les yeux brun- clair, vifs et perçants, ne marchandaient pas l’expression de la pensée, ils regardaient toujours en face. Le front, large et pur, était encore mis en relief par des cheveux noirs abondants. La probité, la décision, une sainte confiance animaient cette belle figure où le métier des armes avait laissé quelques rides sur le front. Le soupçon, la défiance s’y lisaient aussitôt formés. Comme tous les hommes triés pour la cavalerie d’élite, sa taille, belle et svelte encore, pouvait faire dire du garde qu’il était bien découplé. Michaud, qui gardait ses moustaches, ses favoris et un collier de barbe, rappelait le type de cette figure martiale que le déluge de peintures et de gravures patriotiques a failli ridiculiser. Ce type a eu le défaut d’être commun dans l’armée française ; mais peut-être aussi la continuité des mêmes émotions, les souffrances du bivouac, dont ne furent exempts ni les grands ni les petits, les efforts, semblables chez les chefs et les soldats sur le champ de bataille, ont-ils contribué à rendre cette physionomie uniforme.
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire -............. toujours en face...,..........................--------
Les plus forts iront jusqu’au bout
Les yeux brun- clair, vifs et perçants, ne marchandaient pas l’expression de la pensée, ils regardaient toujours en face. Le front, large et pur, était encore mis en relief par des cheveux noirs abondants. La probité, la décision, une sainte confiance animaient cette belle figure où le métier des armes avait laissé quelques rides sur le front. Le soupçon, la défiance s’y lisaient aussitôt formés. Comme tous les hommes triés pour la cavalerie d’élite, sa taille, belle et svelte encore, pouvait faire dire du garde qu’il était bien découplé. Michaud, qui gardait ses moustaches, ses favoris et un collier de barbe, rappelait le type de cette figure martiale que le déluge de peintures et de gravures patriotiques a failli ridiculiser. Ce type a eu le défaut d’être commun dans l’armée française ; mais peut-être aussi la continuité des mêmes émotions, les souffrances du bivouac, dont ne furent exempts ni les grands ni les petits, les efforts, semblables chez les chefs et les soldats sur le champ de bataille, ont-ils contribué à rendre cette physionomie uniforme.
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La phrase à traduire -............. toujours en face...,..........................--------
Les plus forts iront jusqu’au bout