Voici la suite des Paysans
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Ce forban pouvait ainsi comprendre dans le contrat de prêt, auquel assistait toujours la femme de l'emprunteur quand il était marié, la somme à laquelle se montaient les intérêts illégaux. Le paysan, ravi de n'avoir que les cinq pour cent à payer annuellement pendant la durée du prêt, espérait toujours s'en tirer par un travail enragé, par des engrais qui qui bonifiaient le gage de Rigou.
De là les trompeuses merveilles enfantées par ce que les imbéciles économistes nomment la petite culture, le résultat d'une faute politique à laquelle nous devons de porter l'argent français en Allemagne pour y acheter des chevaux que le pays ne fournit plus, une faute qui diminuera tellement la production des bêtes à cornes que la viande sera bientôt inabordable, non seulement au peuple, mais encore à la petite bourgeoisie. (Voir e Curé de Village.)
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Ce forban pouvait ainsi comprendre dans le contrat de prêt, auquel assistait toujours la femme de l'emprunteur quand il était marié, la somme à laquelle se montaient les intérêts illégaux. Le paysan, ravi de n'avoir que les cinq pour cent à payer annuellement pendant la durée du prêt, espérait toujours s'en tirer par un travail enragé, par des engrais qui qui bonifiaient le gage de Rigou.
De là les trompeuses merveilles enfantées par ce que les imbéciles économistes nomment la petite culture, le résultat d'une faute politique à laquelle nous devons de porter l'argent français en Allemagne pour y acheter des chevaux que le pays ne fournit plus, une faute qui diminuera tellement la production des bêtes à cornes que la viande sera bientôt inabordable, non seulement au peuple, mais encore à la petite bourgeoisie. (Voir e Curé de Village.)
Dernière édition par Yves le Dim 8 Nov - 9:11, édité 1 fois