Voici la suite des Paysans.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Et Blondet raconta les aventures de la matinée. Le général était si pâle qu'il effraya Blondet.
"Eh bien! jurez, sacrez, emportez-vous, votre contraction peut vous faire encore plus de mal que la colère.
-Je vais fumer, dit le comte, qui alla à son kiosque."
Pendant le déjeuner, Michaud revint; il n'avait pu rencontrer personne. Sibillet, mandé par le comte, vint aussi.
"Monsieur Sibillet, et vous, monsieur Michaud, faites savoir, avec prudence, dans le pays, que je donne mille francs à celui qui me fera saisir en flagrant délit ceux qui tuent ainsi mes arbres; il faut connaître l'outil dont ils se servent, où ils l'ont acheté, et j'ai mon plan.
-Ces gens-là ne se vendent jamais, dit Sibillet, quand il y a des crimes commis à leur profit et prémédités; car on ne peut nier que cette invention diabolique n'ait été réfléchie, combinée...
-Oui, mais mille francs pour eux, c'est un ou deux arpents de terre.
-Nous essayerons, dit Sibillet; à quinze cents je réponds de trouver un traître, surtout si on lui garde le secret/
-Mais faisons comme si nous ne savions rien, moi surtout; il faut plutôt que ce soit vous qui vous soyez aperçu de cela à mon insu, sans quoi nous serions victimes de quelque combinaison; il faut plus se défier de ces brigands-là que de l'ennemi en temps de guerre.
-Mais c'est l'ennemi, dit Blondet."
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Et Blondet raconta les aventures de la matinée. Le général était si pâle qu'il effraya Blondet.
"Eh bien! jurez, sacrez, emportez-vous, votre contraction peut vous faire encore plus de mal que la colère.
-Je vais fumer, dit le comte, qui alla à son kiosque."
Pendant le déjeuner, Michaud revint; il n'avait pu rencontrer personne. Sibillet, mandé par le comte, vint aussi.
"Monsieur Sibillet, et vous, monsieur Michaud, faites savoir, avec prudence, dans le pays, que je donne mille francs à celui qui me fera saisir en flagrant délit ceux qui tuent ainsi mes arbres; il faut connaître l'outil dont ils se servent, où ils l'ont acheté, et j'ai mon plan.
-Ces gens-là ne se vendent jamais, dit Sibillet, quand il y a des crimes commis à leur profit et prémédités; car on ne peut nier que cette invention diabolique n'ait été réfléchie, combinée...
-Oui, mais mille francs pour eux, c'est un ou deux arpents de terre.
-Nous essayerons, dit Sibillet; à quinze cents je réponds de trouver un traître, surtout si on lui garde le secret/
-Mais faisons comme si nous ne savions rien, moi surtout; il faut plutôt que ce soit vous qui vous soyez aperçu de cela à mon insu, sans quoi nous serions victimes de quelque combinaison; il faut plus se défier de ces brigands-là que de l'ennemi en temps de guerre.
-Mais c'est l'ennemi, dit Blondet."