Voici la suite des paysans
Au moment où le général montait en calèche pour aller à la Préfecture, la com- tesse arrivait à la porte d’Avonne, où, depuis dix-huit mois, le ménage de Michaud et d’Olympe était définitivement installé.
Quelqu’un qui se serait rappelé le pavillon, comme il est décrit plus haut, l’au- rait cru rebâti. D’abord, les briques tombées ou mordues par le temps, le ciment qui manquait dans les joints, avaient été remplacés. L’ardoise nettoyée rendait au faîte sa gaîté, en rendant à l’architecture l’effet des balustres découpés en blanc sur ce fond bleuâtre. Les abords désobstrués et sablés étaient soignés par l’homme chargé d’entretenir les allées du parc.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout