Voici la suite des Paysans.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Ce nom retentissait donc dans la vallée presque tous les jours, accompagné des idées de volupté superfine que rêvent les gens dont l'estomac est plus sensible que le coeur. A ces causes se joignait encore le privilège d'être partie intégrante de la fête de Soulanges. Dans l'ordre immédiatement supérieur, le Café de la Paix était enfin pour la ville ce que le cabaret du Grand-I-Vert était pour la campagne, un entrepôt de venin; il servait de transit aux commérages entre La Ville-aux-Fayes et la vallée. Le Grand-I-Vert fournissait le lait et la crème au Café de la Paix, et les deux filles à Tonsard étaient en rapports journaliers avec cet établissement.
Pour Socquart, la place de Soulanges était un appendice de son café. L'alcide allait de porte en porte causant avec chacun, n'ayant en été qu'un pantalon pour tout vêtement et un gilet à peine boutonné, selon l'usage des cafetiers des petites villes. Il était averti par les gens avec lesquels il causait s'il entrait quelqu'un dans son établissement, où il se rendait pesamment et comme à regret.
Les niveaux les plus faibles pourront s'arrêter après la première phrase.
Les plus forts iront jusqu'au bout.
Ce nom retentissait donc dans la vallée presque tous les jours, accompagné des idées de volupté superfine que rêvent les gens dont l'estomac est plus sensible que le coeur. A ces causes se joignait encore le privilège d'être partie intégrante de la fête de Soulanges. Dans l'ordre immédiatement supérieur, le Café de la Paix était enfin pour la ville ce que le cabaret du Grand-I-Vert était pour la campagne, un entrepôt de venin; il servait de transit aux commérages entre La Ville-aux-Fayes et la vallée. Le Grand-I-Vert fournissait le lait et la crème au Café de la Paix, et les deux filles à Tonsard étaient en rapports journaliers avec cet établissement.
Pour Socquart, la place de Soulanges était un appendice de son café. L'alcide allait de porte en porte causant avec chacun, n'ayant en été qu'un pantalon pour tout vêtement et un gilet à peine boutonné, selon l'usage des cafetiers des petites villes. Il était averti par les gens avec lesquels il causait s'il entrait quelqu'un dans son établissement, où il se rendait pesamment et comme à regret.