L'ami retrouvé de Fred Uhlman
Chapitre 4
La formule habituelle était une course autour de la salle, puis des exercices de flexion et d'extension. Après cette mise en train, Max-les-Biceps allait à son instrument, la barre fixe, et nous montrait quelques exercices, aussi faciles pour lui qu'enjamber une bûche, mais extrêmement difficiles pour la plupart d'entre nous. Il demandait habituellement à l'un des garçons les plus agiles de rivaliser avec sa démonstration et, parfois, me choisissait. Mais, dans les derniers mois, il avait le plus souvent désigné Eisemann, qui aimait à se faire valoir et voulait en tout cas être officier dans la Reichswehr.
Cette fois, j'étais déterminé à intervenir. Max-les-Biceps retourna à la barre fixe, se tint sous elle au garde à vous, étendit les bras, puis sauta avec élégance et saisit la barre dans sa poigne de fer. Avec une aisance et une adresse incroyables, il souleva lentement son corps, pouce à pouce, jusqu'à la barre et s'y appuya. Il se tourna alors à droite, étendit les deux bras, revenant à son ancienne position, se tourna à gauche et reprit la position de repos.
Dans le texte précédent, Hélène, j'ai oublié de traduire les mots "surnommé Max-les-Biceps". Je les ai ajoutés aujourd'hui en italique sur le texte précédent.
Chapitre 4
La formule habituelle était une course autour de la salle, puis des exercices de flexion et d'extension. Après cette mise en train, Max-les-Biceps allait à son instrument, la barre fixe, et nous montrait quelques exercices, aussi faciles pour lui qu'enjamber une bûche, mais extrêmement difficiles pour la plupart d'entre nous. Il demandait habituellement à l'un des garçons les plus agiles de rivaliser avec sa démonstration et, parfois, me choisissait. Mais, dans les derniers mois, il avait le plus souvent désigné Eisemann, qui aimait à se faire valoir et voulait en tout cas être officier dans la Reichswehr.
Cette fois, j'étais déterminé à intervenir. Max-les-Biceps retourna à la barre fixe, se tint sous elle au garde à vous, étendit les bras, puis sauta avec élégance et saisit la barre dans sa poigne de fer. Avec une aisance et une adresse incroyables, il souleva lentement son corps, pouce à pouce, jusqu'à la barre et s'y appuya. Il se tourna alors à droite, étendit les deux bras, revenant à son ancienne position, se tourna à gauche et reprit la position de repos.
Dans le texte précédent, Hélène, j'ai oublié de traduire les mots "surnommé Max-les-Biceps". Je les ai ajoutés aujourd'hui en italique sur le texte précédent.