Voici la suite des paysans
L’aîné, régisseur des biens de la famille Ronquerolles, devint député du départe- ment à la Convention. A l’imitation de son ami Gaubertin, l’accusateur public qui sauva les Soulanges, il sauva les biens et la vie des Ronquerolles. Il eut deux filles, l’une mariée à l’avocat Gendrin, l’autre à Gaubertin fils, et il mourut en 1804.
Le second obtint gratis, par la protection de son aîné, la poste de Couches. Il eut pour seule et unique héritière une fille, mariée à un riche fermier du pays appelé Guerbet. Il mourut en 1817
Le dernier des Mouchon, s’étant fait prêtre, curé de La-Ville-aux-Fayes avant la révolution, curé depuis le rétablissement du culte catholique, se trouvait encore curé de cette petite capitale.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
L’aîné, régisseur des biens de la famille Ronquerolles, devint député du départe- ment à la Convention. A l’imitation de son ami Gaubertin, l’accusateur public qui sauva les Soulanges, il sauva les biens et la vie des Ronquerolles. Il eut deux filles, l’une mariée à l’avocat Gendrin, l’autre à Gaubertin fils, et il mourut en 1804.
Le second obtint gratis, par la protection de son aîné, la poste de Couches. Il eut pour seule et unique héritière une fille, mariée à un riche fermier du pays appelé Guerbet. Il mourut en 1817
Le dernier des Mouchon, s’étant fait prêtre, curé de La-Ville-aux-Fayes avant la révolution, curé depuis le rétablissement du culte catholique, se trouvait encore curé de cette petite capitale.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout