Voici la suite des paysans
Le soldat est le soldat, vous êtes des péquins , on a le droit de vous sabrer, et hue !...
- Eh ! bien, dit Tonsard, qu’avez-vous donc, vous autres, à vous effarer comme des cabris ? Peut-on prendre quelque chose à ma mère, à mes filles ?... On aura de la prison ?... Eh ! bien on en mangera, le Tapissier n’y mettra pas tout le pays. D’ailleurs, ils seront mieux nourris chez le roi que chez eux, les prisonniers, et on les chauffe en hiver.
- Vous êtes des godiches ! beugla le père Fourchon. Vaut mieux gruger le bour- geois que de l’attaquer en face, allez ! Autrement, vous serez éreintés. Si vous ai- mez le bagne, c’est autre chose ! on ne travaille pas tant que dans les champs, c’est vrai ; mais on n’y a pas sa liberté.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
Le soldat est le soldat, vous êtes des péquins , on a le droit de vous sabrer, et hue !...
- Eh ! bien, dit Tonsard, qu’avez-vous donc, vous autres, à vous effarer comme des cabris ? Peut-on prendre quelque chose à ma mère, à mes filles ?... On aura de la prison ?... Eh ! bien on en mangera, le Tapissier n’y mettra pas tout le pays. D’ailleurs, ils seront mieux nourris chez le roi que chez eux, les prisonniers, et on les chauffe en hiver.
- Vous êtes des godiches ! beugla le père Fourchon. Vaut mieux gruger le bour- geois que de l’attaquer en face, allez ! Autrement, vous serez éreintés. Si vous ai- mez le bagne, c’est autre chose ! on ne travaille pas tant que dans les champs, c’est vrai ; mais on n’y a pas sa liberté.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout