Voici la suite des paysans
- Là, là, s’écria Jean-Louis Tonsard qui passait pour être un peu fils de Gaubertin et qui venait d’entrer à la suite de Fourchon.
Ce garçon, qui courtisait depuis quelques mois la jolie servante de Rigou, suc- cédait à son père dans l’état de tondeur de haies, de charmilles, et autres facultés tonsardes . En allant dans les maisons bourgeoises, il y causait avec les maîtres et les gens, il récoltait ainsi des idées qui faisaient de lui l’homme à moyens de la famille, le finaud. En effet, on verra tout à l’heure qu’en s’adressant à la servante de Rigou, Jean-Louis justifiait la bonne opinion qu’on avait de sa finesse.
- Eh ! bien, qu’as-tu, prophète ? dit le cabaretier à son fils.
- Je dis que vous jouez le jeu des Bourgeois, répliqua Jean-Louis.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
- Là, là, s’écria Jean-Louis Tonsard qui passait pour être un peu fils de Gaubertin et qui venait d’entrer à la suite de Fourchon.
Ce garçon, qui courtisait depuis quelques mois la jolie servante de Rigou, suc- cédait à son père dans l’état de tondeur de haies, de charmilles, et autres facultés tonsardes . En allant dans les maisons bourgeoises, il y causait avec les maîtres et les gens, il récoltait ainsi des idées qui faisaient de lui l’homme à moyens de la famille, le finaud. En effet, on verra tout à l’heure qu’en s’adressant à la servante de Rigou, Jean-Louis justifiait la bonne opinion qu’on avait de sa finesse.
- Eh ! bien, qu’as-tu, prophète ? dit le cabaretier à son fils.
- Je dis que vous jouez le jeu des Bourgeois, répliqua Jean-Louis.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout