Voici la suite des paysans
L’écrivain prit la main du prêtre et la lui serra cordialement.
- Vous devez comprendre alors, reprit l’abbé Brossette, comment je ne puis rien savoir de ce qui se trame. Néanmoins, il me semble que le général est ici sous le coup de ce qu’en Artois et en Belgique, on appelle le mauvais gré .
Quelques phrases sont ici nécessaires sur le curé de Blangy.
Cet abbé, quatrième fils d’une bonne famille bourgeoise d’Autun, était un homme d’esprit, portant le rabat très-haut. Petit et fluet, il rachetait sa piètre figure par cet air têtu qui sied aux Bourguignons. Il avait accepté ce poste secondaire par dévoûment, car sa conviction religieuse était doublée d’une conviction politique. Il y avait en lui du prêtre des anciens temps, il tenait à l’Eglise et au clergé passionnément, il voyait l’ensemble des choses, et l’égoïsme ne gâtait pas son ambition : Servir était sa devise, servir l’Eglise et la monarchie sur le point le plus menacé, servir au dernier rang, comme un soldat qui se sait destiné, tôt ou tard, au généralat par son désir de bien faire et par son courage. Il ne transigeait avec aucun de ses veux de chasteté, de pauvreté, d’obéissance.
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire -.......... le mauvais gré ..........,.................--------
Les plus forts iront jusqu’au bout
L’écrivain prit la main du prêtre et la lui serra cordialement.
- Vous devez comprendre alors, reprit l’abbé Brossette, comment je ne puis rien savoir de ce qui se trame. Néanmoins, il me semble que le général est ici sous le coup de ce qu’en Artois et en Belgique, on appelle le mauvais gré .
Quelques phrases sont ici nécessaires sur le curé de Blangy.
Cet abbé, quatrième fils d’une bonne famille bourgeoise d’Autun, était un homme d’esprit, portant le rabat très-haut. Petit et fluet, il rachetait sa piètre figure par cet air têtu qui sied aux Bourguignons. Il avait accepté ce poste secondaire par dévoûment, car sa conviction religieuse était doublée d’une conviction politique. Il y avait en lui du prêtre des anciens temps, il tenait à l’Eglise et au clergé passionnément, il voyait l’ensemble des choses, et l’égoïsme ne gâtait pas son ambition : Servir était sa devise, servir l’Eglise et la monarchie sur le point le plus menacé, servir au dernier rang, comme un soldat qui se sait destiné, tôt ou tard, au généralat par son désir de bien faire et par son courage. Il ne transigeait avec aucun de ses veux de chasteté, de pauvreté, d’obéissance.
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire -.......... le mauvais gré ..........,.................--------
Les plus forts iront jusqu’au bout