Voici la suite des paysans
Que ce soit pour un seigneur ou pour l’impôt qui prend
le plus clair de nos labeurs, faut toujours dépenser not’vie en sueurs...
- Mais vous pouvez choisir un état, tenter ailleurs la fortune, dit Blondet.
Vous me parlez d’aller quérir la fortune ?... Où donc irais-je ? Pour franchir mon département, il me faut un passeport, qui coûte quarante sous ! V’là quarante ans que je n’ai pas pu me voir une gueuse ed ’pièce de quarante sous sonnant dans mes poches avec une voisine. Pour aller devant soi, il faut autant d’écus que l’on trouve de villages, et il n’y a pas beaucoup de Fourchon qui aient de quoi visiter six villages ! Il n’y a que la conscription qui nous tire ed ’nos communes.
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire -..............,. en sueurs...................--------
Les plus forts iront jusqu’au bout