Voici la suite des paysans
. Lupin, dit-il au notaire qui assistait à cette conférence allez donc à La-Ville-aux-Fayes y seriner Maréchal, en cas que notre beau cuirassier lui demande des renseignements.
Maréchal était cet avoué que son ancien patron, chargé à Paris des affaires du général, avait naturellement recommandé comme conseil à monsieur de Mont- cornet, après l’heureuse acquisition des Aigues.
Ce Sibilet, fils aîné du Greffier du Tribunal de La-Ville-aux-Fayes, clerc de no- taire, sans sou ni maille, âgé de vingt-cinq ans, s’était épris de la fille du juge de paix de Soulanges à en perdre la raison.
Ce digne magistrat à quinze cents francs d’appointements, nommé Sarcus, avait épousé une fille sans fortune, la soeur aînée de monsieur Vermut, l’apothicaire de Soulanges.
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire........ lui demande des renseignements.;,.,........,...............
Les plus forts iront jusqu’au bout
. Lupin, dit-il au notaire qui assistait à cette conférence allez donc à La-Ville-aux-Fayes y seriner Maréchal, en cas que notre beau cuirassier lui demande des renseignements.
Maréchal était cet avoué que son ancien patron, chargé à Paris des affaires du général, avait naturellement recommandé comme conseil à monsieur de Mont- cornet, après l’heureuse acquisition des Aigues.
Ce Sibilet, fils aîné du Greffier du Tribunal de La-Ville-aux-Fayes, clerc de no- taire, sans sou ni maille, âgé de vingt-cinq ans, s’était épris de la fille du juge de paix de Soulanges à en perdre la raison.
Ce digne magistrat à quinze cents francs d’appointements, nommé Sarcus, avait épousé une fille sans fortune, la soeur aînée de monsieur Vermut, l’apothicaire de Soulanges.
Afin de permettre aux niveaux plus faibles de participer au thème.
La phrase à traduire........ lui demande des renseignements.;,.,........,...............
Les plus forts iront jusqu’au bout