Voici la suite des paysans
Rien n’échappait donc à cette intelligente tyrannie, inaperçue d’ailleurs, et qui parais- sait à chacun le triomphe de la localité. Ainsi, dès que l’Opposition libérale déclara la guerre aux Bourbons de la branche aînée, Gaubertin, qui ne savait où placer un fils naturel, ignoré de sa femme et nommé Bournier, tenu depuis longtemps à Paris, sous la surveillance de Leclercq, le voyant devenu prote d’une imprimerie, l’installa maître imprimeur à La-Ville-aux-Fayes. Ce garçon créa, sous l’inspira- tion de son protecteur, un journal ayant pour titre le Courrier de l’Avonne , parais- sant trois fois par semaine, et qui commença par enlever le bénéfice des annonces légales au journal de la Préfecture. Cette feuille départementale tout acquise au Ministère en général, appartenait en particulier au Centre-Gauche.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
Rien n’échappait donc à cette intelligente tyrannie, inaperçue d’ailleurs, et qui parais- sait à chacun le triomphe de la localité. Ainsi, dès que l’Opposition libérale déclara la guerre aux Bourbons de la branche aînée, Gaubertin, qui ne savait où placer un fils naturel, ignoré de sa femme et nommé Bournier, tenu depuis longtemps à Paris, sous la surveillance de Leclercq, le voyant devenu prote d’une imprimerie, l’installa maître imprimeur à La-Ville-aux-Fayes. Ce garçon créa, sous l’inspira- tion de son protecteur, un journal ayant pour titre le Courrier de l’Avonne , parais- sant trois fois par semaine, et qui commença par enlever le bénéfice des annonces légales au journal de la Préfecture. Cette feuille départementale tout acquise au Ministère en général, appartenait en particulier au Centre-Gauche.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout