Voici la suite des paysans
La Péchina, quoique brisée, puisa dans sa passion assez de force pour marcher : son maître adoré la regardait ! La comtesse suivait Michaud dans un de ces sen- tiers connus seulement des braconniers et des gardes, où l’on ne peut pas aller deux de front, mais qui menait droit à la porte d’Avonne.
- Michaud, dit-elle au milieu du bois, il faut trouver un moyen de débarrasser le pays de ce méchant garnement, car cette enfant est sans doute menacée de mort.
- D’abord, répondit Michaud, Geneviève ne quittera pas le pavillon, ma femme prendra chez elle le neveu de Vatel, qui fait les allées du parc, nous le remplacerons par un garçon du pays de ma femme, car il ne faut plus mettre aux Aigues que des gens de qui nous soyons sûrs.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
La Péchina, quoique brisée, puisa dans sa passion assez de force pour marcher : son maître adoré la regardait ! La comtesse suivait Michaud dans un de ces sen- tiers connus seulement des braconniers et des gardes, où l’on ne peut pas aller deux de front, mais qui menait droit à la porte d’Avonne.
- Michaud, dit-elle au milieu du bois, il faut trouver un moyen de débarrasser le pays de ce méchant garnement, car cette enfant est sans doute menacée de mort.
- D’abord, répondit Michaud, Geneviève ne quittera pas le pavillon, ma femme prendra chez elle le neveu de Vatel, qui fait les allées du parc, nous le remplacerons par un garçon du pays de ma femme, car il ne faut plus mettre aux Aigues que des gens de qui nous soyons sûrs.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout