Voici la suite des paysans
- Merci, dit la petite encore tout étourdie. Que m’est-il donc arrivé ?
- Tu as buté contre une racine et tu t’es étalée à quatre pas, lancée comme une balle.... Ah ! courais-tu ! tu courais comme une perdue !
- C’est ton frère qui est la cause de cet accident, dit la petite en se rappelant d’avoir vu Nicolas
- Mon frère ? Je ne l’ai pas aperçu, dit Catherine. Et qu’est-ce qu’il t’a donc fait, mon pauvre Nicolas, pour que tu en aies peur comme d’un loup-garou ? N’est-il pas plus beau que ton monsieur Michaud ?
- Oh ! dit superbement la Péchina.
- Va, ma petite, tu te prépares des malheurs, en aimant ceux qui nous persé- cutent ! Pourquoi n’es-tu donc pas de notre côté ?
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
- Merci, dit la petite encore tout étourdie. Que m’est-il donc arrivé ?
- Tu as buté contre une racine et tu t’es étalée à quatre pas, lancée comme une balle.... Ah ! courais-tu ! tu courais comme une perdue !
- C’est ton frère qui est la cause de cet accident, dit la petite en se rappelant d’avoir vu Nicolas
- Mon frère ? Je ne l’ai pas aperçu, dit Catherine. Et qu’est-ce qu’il t’a donc fait, mon pauvre Nicolas, pour que tu en aies peur comme d’un loup-garou ? N’est-il pas plus beau que ton monsieur Michaud ?
- Oh ! dit superbement la Péchina.
- Va, ma petite, tu te prépares des malheurs, en aimant ceux qui nous persé- cutent ! Pourquoi n’es-tu donc pas de notre côté ?
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout