Voici la suite des paysans
Sans doute, elle voulait faire arriver la victime, étour- die par sa chute, à cette ivresse morale, si dangereuse sur des filles qui vivent aux champs et dont l’imagination, privée de pâture, n’en est que plus ardente, aussitôt qu’elle trouve à s’exercer. Le vin cuit, qu’elle tenait en réserve, devait achever de faire perdre la tête à sa victime.
- Qu’y a-t-il donc là-dedans ? demanda la Péchina.
- Toutes sortes de choses !... répondit Catherine en regardant de côté pour voir si son frère arrivait, d’abord des machins qui viennent des Indes, de la cannelle, des herbes qui vous changent, par enchantement. Enfin, vous croyez tenir ce que vous aimez ! ça vous rend heureuse ! On se voit riche, on se moque de tout !
- J’aurais peur, dit la Péchina, de boire du vin cuit à la danse !
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
Sans doute, elle voulait faire arriver la victime, étour- die par sa chute, à cette ivresse morale, si dangereuse sur des filles qui vivent aux champs et dont l’imagination, privée de pâture, n’en est que plus ardente, aussitôt qu’elle trouve à s’exercer. Le vin cuit, qu’elle tenait en réserve, devait achever de faire perdre la tête à sa victime.
- Qu’y a-t-il donc là-dedans ? demanda la Péchina.
- Toutes sortes de choses !... répondit Catherine en regardant de côté pour voir si son frère arrivait, d’abord des machins qui viennent des Indes, de la cannelle, des herbes qui vous changent, par enchantement. Enfin, vous croyez tenir ce que vous aimez ! ça vous rend heureuse ! On se voit riche, on se moque de tout !
- J’aurais peur, dit la Péchina, de boire du vin cuit à la danse !
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout