Voici la suite des paysans
- Et moi qui devrais avoir porté mon lait à mademoiselle Gaillard ?... s’écria la Péchina ; Nicolas m’a fait une peur !...
- Tu n’aimes donc pas Nicolas ?
- Non, répondit la Péchina, qu’a-t-il à me poursuivre ? Il ne manque pas de créa- tures de bonne volonté.
- Mais s’il te préfère à toutes les filles de la vallée, ma petite...
- J’en suis fâchée pour lui, dit-elle.
- On voit bien que tu ne le connais pas, reprit Catherine.
Avec une rapidité foudroyante, Catherine Tonsard, en disant cette horrible phrase, saisit la Péchina par la taille, la renversa sur l’herbe, la priva de toute sa force en la mettant à plat, et la maintint dans cette dangereuse position.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
- Et moi qui devrais avoir porté mon lait à mademoiselle Gaillard ?... s’écria la Péchina ; Nicolas m’a fait une peur !...
- Tu n’aimes donc pas Nicolas ?
- Non, répondit la Péchina, qu’a-t-il à me poursuivre ? Il ne manque pas de créa- tures de bonne volonté.
- Mais s’il te préfère à toutes les filles de la vallée, ma petite...
- J’en suis fâchée pour lui, dit-elle.
- On voit bien que tu ne le connais pas, reprit Catherine.
Avec une rapidité foudroyante, Catherine Tonsard, en disant cette horrible phrase, saisit la Péchina par la taille, la renversa sur l’herbe, la priva de toute sa force en la mettant à plat, et la maintint dans cette dangereuse position.
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout