Voici la suite des paysans
- De quoi ? reprit Catherine, il n’y a pas le moindre danger, songe donc à tout ce monde qui est là. Tous les bourgeois nous regardent ! Ah ! c’est de ces jours qui font supporter bien des misères ! Voir ça et mourir, on serait contente !
- Si monsieur et madame Michaud voulaient y venir !... répondit la Péchina l’oeil en feu.
- Mais ton grand’père, Niseron, tu ne l’as pas abandonné, ce pauvre cher homme, et il serait bien flatté de te voir adorée comme une reine... Est-ce que tu préfères ces Arminacs de Michaud et autres à ton grand’père et aux Bourguignons ? Ca n’est pas bien de renier son pays. Et puis, après, qu’est-ce que les Michaud auraient donc à dire si ton grand’père t’emmenait à la fête de Soulanges ?...
Les niveaux plus faibles peuvent s'arrêter dès la première phrase.
Les plus forts iront jusqu’au bout
- De quoi ? reprit Catherine, il n’y a pas le moindre danger, songe donc à tout ce monde qui est là. Tous les bourgeois nous regardent ! Ah ! c’est de ces jours qui font supporter bien des misères ! Voir ça et mourir, on serait contente !
- Si monsieur et madame Michaud voulaient y venir !... répondit la Péchina l’oeil en feu.
- Mais ton grand’père, Niseron, tu ne l’as pas abandonné, ce pauvre cher homme, et il serait bien flatté de te voir adorée comme une reine... Est-ce que tu préfères ces Arminacs de Michaud et autres à ton grand’père et aux Bourguignons ? Ca n’est pas bien de renier son pays. Et puis, après, qu’est-ce que les Michaud auraient donc à dire si ton grand’père t’emmenait à la fête de Soulanges ?...
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Les plus forts iront jusqu’au bout